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Les pièces de 100 francs en or et leurs caractéristiques

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Les pièces françaises de 32,35 grammes sont les plus grosses et avec leur 35 mm de diamètre. Un équivalent de 29,03 grammes d’or fin est condensé dans ces pièces qui titrent à 900 pour mille. C’est cette quantité d’or qui sera échangée en valeur nominale car la pièce en tant que telle ne possède pas de cotation sur les places financières.

L’on rencontre 3 formes de ces pièces selon l’état de la collection. Frappées entre 1855 et 1870, les pièces de 100 francs en or Napoléon existent dans des tirages «tête laurée» et «tête nue». Ils ont fait l’objet de deux émissions différentes. Les premières pièces sont apparues en 1855 et sont tirées jusqu’en 1870. Ce sont ainsi quelque 346 101 exemplaires qui ont été gravés par Jean-Jacques Barre. Les têtes sont tirées à 97 210 exemplaires et gravées par Albert-Désiré Barre entre 1862 et 1870. Elles font partie des pièces qui ont été tirées dans le cadre des unions latines. Les pièces de 100 francs en or génie ont également fait l’objet de deux tirages. Les unes portent ainsi la mention «Dieu protège la France». Ce sont celles émises suite à l’édition de la loi du 5 août 1874 et plus tôt de celle du 20 juin 1871. Les autres portent en relief «Liberté, Egalité, Fraternité» sur la tranche. Ces dernières ont été frappées entre 1907 et 1914 à 164 673 exemplaires.

Les or Bazor sont des pièces de 100 francs à plus de 13 790 000 exemplaires. Elles mesurent et pèsent un peu moins que les deux autres pièces de 100 francs en or décrites plus tôt. Leur appellation vient de Lucien Bazor, le graveur affecté à leur ornement.Les pièces d’or autres que les françaises émises dans des pays d’Europe foisonnent sur le marché.

L’on dénombre des pièces d’or frappées dans des pays comme les Pays-Bas, la Grande-Bretagne et l’Allemagne. La Suisse occupe également une part du marché avec ses pièces de 20 francs. Leur forte liquidité sur le marché constitue un des grands atouts de ces unités helvètes. Par ailleurs, elles ont les mêmes caractéristiques que les pièces françaises dites Napoléons. Les souverains et les demi-souverains représentent le Royaume-Uni. Les premiers sont à l’effigie de George V. Frappées pour la première fois sous Henry VII, ce sont les parallèles anglais des Napoléons. Ces pièces titrent à 917%. La rareté des demi-souverains fait leur valeur bien que celle-ci soit peu élevée. Le marché compte en outre quelques fameux souverains Elisabeth II frappés en souvenir du passage de la reine à Paris. Les pièces de 20 Reichmarks allemands sont assez rares en quantité mais affichent un bon rapport métal/prix. Ces pièces de monnaies frappées vers 1871 contiennent près de 0,23 onces d’or chacune. Les pays-Bas sont enfin représentés avec leurs pièces de 10 florins. Chaque pièce est l’équivalent d’une once d’or pur. Ce qui explique la valeur marchande de ces pièces frappées à l’effigie de Guillaume III de 1875 à 1933. Avec ces pièces, les pièces françaises partagent quelques traits communs en termes d’intérêt. Elles s’échangent plus facilement sur les marchés et d’ailleurs elles se stockent aussi avec moins de difficulté. Le réseau de vendeurs et d’acheteurs de ce genre d’or d’investissement est large. Ce qui facilite la liquidation de la marchandise.

En rappelant que la cotation de ces pièces d’or dépend de la prime et du poids. La prime étant actuellement très basse, l’achat est la démarche la plus recommandée en attendant que celle-ci remonte la pente. Ce sera alors un excellent moment de tirer les bénéfices de ses réserves de monnaies en or. Les transactions en ligne rendent la vente et l’achat de ces pièces de plus en plus faciles. Il faut néanmoins toujours jouer la carte de la prudence et bien se renseigner sur les conditions avant de débourser.

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