Bref rappel historique du 20 francs Coq or

Les pièces de 20 francs Coq or ont été mises en circulation durant la période de la troisième république française. Elle était même le symbole du rayonnement de la période du Franc dans la zone Europe à l’époque. Rappelons que les premières pièces du type Napoléon ont été ordonnées de fabrication depuis la loi du franc germinal à l’époque des premières années de règne du Consul Bonaparte en 1803. Leur fabrication a été ainsi marquée par les périodes de leur utilisation. Les gravures et les mentions dont sont dotées les pièces relataient indéniablement l’époque où elles ont été frappées et mises en circulation. Pour le cas du 20 francs Coq or, elle était la première pièce d’or qui fut gravée avec des dessins des plus originaux parmi toutes les pièces et qui fut remarquablement signée par le célèbre graveur français Jules-Clément Chaplain. Particulièrement pour les 20 francs Coq or, une première production a été gravée avec la mention « Dieu protège la France ». Seulement, lors de la séparation de l’église et de l’état vers 1905, un deuxième lot de 20 francs Coq Marianne vit le jour avec la mention « Liberté Égalité Fraternité », dont celles frappées entre 1907 à 1914. En tant que pièces d’or ayant connu un succès même durant son utilisation en cours légal, les 20 francs Coq or ont toujours eu du succès même jusqu’à aujourd’hui. C'est pourquoi l’état décide de refrapper toute une série de nouvelles pièces d’or Marianne et Coq mais copier soigneusement par l’originale. C’est ainsi que l’état avait ré ouvert le marché de l’or. Près de 37 millions de pièces d’or Coq et Marianne ont été remises sur le marché. Étant frappée en 1951 et 1960, ces pièces sont quand même millésimées 1907 à 1914. De cette situation, il en dérive que les pièces de 20 francs Coq or ont depuis résisté au passage du temps. De même qu’aujourd’hui, elle demeure l’une des pièces favorites des investisseurs et des collectionneurs avérés.

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