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Les stocks de métaux précieux sont-ils assez importants pour protéger nos actifs lors de la prochaine tempête économique ?

Le 26/08/2021 dans "Or"

Andy Schectman, président de Miles Franklin Ltd. Precious Metals (USA) et spécialiste financier du marché des métaux précieux, a alerté lors d’un interview donnée le 14 août dernier, sur la faiblesse des stocks de métaux et les conséquences que cela engendrerait en cas de crise économique.

Le constat d’Andy Schectman

En partant du constat que la production des biens de consommation (smartphones, voitures, lave-linges), des biens industriels (avions) et des produits d’infrastructure (routes, ponts) s’est considérablement accélérée depuis 40 ans, Andy Schectman s’est interrogé sur les conséquences d’une pénurie de métaux. Les ressources naturelles n’étant pas infinies, les réserves minières s’amenuisent et cet appauvrissement entraîne des coûts d’exploitation de plus en plus élevés qui se répercutent sur le prix des métaux ; il s’agit notamment de lithium, platine, scandium, or et argent.

Malgré cette augmentation des prix, Andy Schectman évoque l’énorme potentiel haussier sur ces métaux. Il explique que ce nouvel engouement pour ce marché est dû à une expansion importante de la population américaine qui prend conscience du pouvoir de protection de l’or et de l’argent contre les crises. La demande devient de plus en plus importante alors que, dans le même temps, les mines commencent à peiner pour reconstituer les stocks.

De ce fait, en cas de crise, les approvisionnements en métaux ne seraient plus assurés et les réserves deviendraient  insuffisantes.

Quelques points forts pour appuyer son constat

Schectman révèle que les États anticipent l'hyperinflation créée par la FED qui, associée à la dépréciation du dollar, entraînera possiblement une destruction des richesses et, avec elle, la ruine des épargnants. Devant cette possibilité, les établissements financiers américains ont acquis des métaux précieux pour des sommes faramineuses, à l’image de la banque JP Morgan dont on suppose qu’elle a accumulé discrètement plus de 600 millions d’onces d’argent, possédant ainsi le plus gros investissement en argent physique jamais acquis auparavant. Dans la même optique, les investisseurs délaissent progressivement les différents marchés (boursier, obligataire, immobilier) pour se tourner vers les métaux précieux.

La demande en or, argent, mais également platine, lithium, cuivre etc., a fortement augmenté, dans un contexte incertain d’hyperinflation.

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