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Le sort de la Grèce se joue en ce moment !

Le 03/07/2015

Le 5 juillet, les grecs vont être appelé à voter durant un référendum organisé par le premier ministre Alexis Tsipiras afin de savoir si oui ou non le peuple accepte les propositions des créanciers internationaux.

En effet, depuis maintenant plusieurs mois, les négociations font rage pour savoir si de nouveaux prêts seront accordés au pays. Acculé par les dettes et au bord du défaut de paiement, la Grèce se trouve dans une situation dramatique.

Alors que le gouvernement ne pourra bientôt plus payer ses fonctionnaires, il est capital de trouver de nouveaux fonds pour que le pays continue à fonctionner. Cela fait maintenant plus de deux ans que le pays vit sous perfusion et de nombreuses restructurations de son économie ont du être faite pour satisfaire les créanciers.

En échange des milliards de prêts qui lui ont été accordés, la Grèce a du faire des efforts conséquents mais qui semblent encore insuffisant pour les institutions de prêts. Malgré une baisse des retraites, une augmentation des impôts ou encore des allègements dans les effectifs de l'Etat, les réformes semblent encore trop limitées pour les créanciers.

Le premier ministre, qui s'était engagé à limiter les coups budgétaires et les salaires, a du mettre de l'eau dans son vin et se voit dans l'incapacité de respecter son programme de campagne. Le résultat est sans appel : le peuple grec est aujourd'hui de plus en plus mécontent et une sortie du pays de la zone euro semble de plus en plus probable.

Longtemps hors de question pour les membres de l'union européenne et les politiques, un grexit est aujourd'hui de plus en plus envisageable. Outre les répercussions financières, l'aspect idéologique est problématique. Une sortie d'un des membres de la zone euro sonnerait le glas de l'idéologie selon laquelle, l'Europe garantie la sécurité à ses membres et cette première pourrait entrainer la sortie d'autres pays en difficulté, ce qui annoncerait un éclatement de cet union monétaire.

 

Sur le plan économique, les spécialistes semblent moins alarmistes qu'autrefois. Si les créanciers qui ont prêtés au pays ne retrouvaient pas leurs sommes, les bourses européennes de leur coté, risqueraient de dégringoler. De même l'euro qui a subit les conséquences de la crises risquerait de continuer à baisser face aux devises majeures, ce qui a déjà été le cas ces derniers mois.

 

En ce qui concerne les métaux précieux, le malheur de la zone européenne pourrait faire le bonheur des possesseurs d'or. Une sortie de la Grèce de la zone euro entrainerait une baisse des marchés financiers et une baisse de l'euro. Avec des rendements nettement moins importants sur les actifs papier comme les actions, les gros investisseurs vont préférer réinvestir massivement dans l'or afin de sécuriser leurs actifs et se protéger contre une baisse des actions. De surcroit, le marché des particuliers risque de faire également de gros mouvements, la baisse de confiance des investisseurs privés ne cesse de croître ces dernières années et un grexit, suivi d'une chute des actions et de l'euro, pourrait pousser les particuliers à se tourner vers l'investissement dans les métaux précieux tels que l'or et l'argent. En effet, ce placement est sécuritaire, cela permet de  mettre à l'abris ses économies avec un rendement supérieur aux comptes épargnes classique.

 

De plus, l'avantage de thésauriser est que contrairement à de l'argent placé sur un compte bancaire, une fois que vous possédez de l'or ou de l'argent c'est votre propriété. Des économies placées dans une banque ne sont pas sous votre total contrôle : si la banque venait à faire faillite, vos économies partiraient en fumé. De même, en Grèce actuellement, en cas de crise financière importante, les banques, soumises à des retraits de liquidités massives, se voient dans l'obligation  de refuser les retraits à leurs clients qui se retrouvent privés de leur epargne.

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